Le handicap dans l’emploi.
Il apparaît lorsqu’un poste de travail n’est pas adapté au handicap.
Des aménagements techniques ou d’organisations sont alors nécessaires pour permettre à l’employer de poursuivre son travail.
La médecine du travail évalue les aptitudes et peut préconiser des aménagements.
Lorsqu’un salarié à des difficultés à conserver ou obtenir un emploi suite à son handicap il peut faire une demande MDPH.
L’agefiph propose des aides financières et des services des personnes handicapées dans les entreprises privées.
Les taux de handicaps sont ;
Faire reconnaître son handicap
Les démarches sont confidentielles, les entreprises privées (20 salariés ou plus) ont l’obligation d’avoir 6% de salariés handicapés et le droit du travail protège toute discrimination.
Le statut travailleur handicapé peu être accordé lorsque votre handicap a des répercussions sur l’exercice d’un emploi.
Il faut adresser un dossier à la MDPH qui l’examinera et vous informera de sa décision (les médecins du travail, générales, spécialistes, assistante sociale…peuvent vous aider dans les démarches).
L’insertion du handicap dans l’emploi
D’après la dépêche n°37 du Prism’Emploi un accord en faveur de l’insertion des personnes en situation de handicap a été signé et rentrera prochainement en vigueur.
L’objectif de cet accord est de faire évoluer le taux d’emploi des salariés permanents en situation de handicap du travail temporaire afin d’atteindre le taux légal de 6%.
Il prévoit aussi d’augmenter ce taux d’emploi de 1.5 sur 3 ans et s’applique également aux salariés victimes d’un grave AT/MP ou de graves difficultés de santé.
Il a donc pour objet :
Pour les salariés permanents en situation de handicap une formation et des modalités d’accueil personnalisées seront proposés afin de les accompagner, de prévoir les adaptations nécessaires et de faciliter leurs intégrations.
Pour les salariés intérimaires en situation de handicap le financement des formations professionnelles sera priorisé afin de développer leurs qualifications.